POMPE A CHALEUR SANS CHALEUR!
Depuis des mois Sylvia se démenait auprès d’une entreprise au sujet de sa pompe à chaleur qui ne fonctionnait plus et un panneau solaire posé au Nord ! Elle a fait appel à un organisme qui lui a réclamé 610 € pour constater les défauts et une surconsommation d’électricité.
Sylvia s’est adressée à notre association mais l’adversaire refusait de communiquer même si celui-ci est tenu à une obligation de résultat. Nous avons contourner le problème en sollicitant son assurance professionnelle. L’entreprise a fini par intervenir et déplacer le panneau solaire mais les résultats n’étaient toujours pas probants. En faisant constater par huissier que la température ne dépassait pas 12°, l’entreprise a diligenté une équipe.
Au final, après des mois d’échanges, l’adhérente a obtenu le remboursement des 610 €, le changement de la pompe à chaleur, le déplacement du panneau au sud et 4 271 € pour sa surconsommation d’électricité.
TRAVAUX COMMENCES ……..
Richard a signé un devis pour réaliser un préau et aménager l’existant. Il a versé une somme importante 75 %. L’artisan a commencé le chantier 15 jours après la date fixée sur le devis puis il a arrêté au motif d’absence de matériaux.
Richard a essayé de le joindre à plusieurs reprises et lui a envoyé une lettre recommandée sans résultat et nous a demandé assistance.
La consultante de l’UFC Que choisir Vendée a adressé un courrier à l’artisan en spécifiant qu’il s’agissait d’un abandon de chantier article 1103 du Code Civil « les contrats légalement formés tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faits ».
Elle a demandé la facture correspondant aux travaux effectués car Richard souhaitait finir le chantier lui-même ainsi que l’attestation d’assurance professionnelle non jointe au devis.
L’artisan a répondu favorablement à la demande de l’association.
INSTALLATION D’UNE PISCINE
Didier a fait installer une piscine 9m par 4m mais a constaté rapidement des malfaçons : implantation ne correspondant pas aux plans déposés en Mairie et problème avec le rideau de sécurité. Le constructeur ayant refusé la demande de Didier, celui-ci a contacté notre association..Après chiffrage nous avons demandé un dédommagement de 5 000€.
L’entreprise voulait rogner les margelles pour adapter le volet de sécurité et réduire l’indemnité.
Didier a refusé, la confiance était rompue. Finalement un protocole a été signé entre les parties, Didier a obtenu le remboursement demandé initialement et s’occupe lui-même des travaux de finition.